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Les Salons du docteur G
roman, collection Ecritures,
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Psychanalyste renommé, le docteur G reçoit ses patients la nuit, dans ses salons d’un quartier chic de Paris. C’est là qu’un médecin de famille envoie Alex Fortin, un étudiant de 27 ans. Qui est le docteur G ? Un dieu tutélaire pour les uns, mais un simple charlatan pour d’autres. Ce récit sans fard n’est pas un livre de plus sur la psychanalyse et ses avatars. L’épreuve que traverse Alex met en lumière tout le mal-être des patients confrontés aux ambiguïtés d’une médecine et d’une société indéchiffrables.
présentation
service de presse présentation et extrait sur Radio Primitive commander sur L'Harmattan Amazon Chapitre
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Martha
éditions Caractères,
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Un théâtre à deux personnages et une ombre. Dubois, le mari, et Berthier, l'amant, se souviennent de la même femme, Martha, partie avec un troisième homme. Dans la plaie des souvenirs et l'alcool de la vengeance, Dubois pousse Berthier vers la folie. Et la mort. "Martha avait besoin de liberté. Et moi aussi. C'était convenu entre nous depuis le début. Chacun de son côté et, à la fin, on se retrouvait. Car Martha me revenait toujours, vous l'avez remarqué? Dans notre petit nid, là-haut, dans nos plumes. Les choses ont commencé à se gâter avec vous. C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à la suivre."
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des extraits
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Chava
éditions L'Harmattan
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Espagne, 1939 : la faim, le fascisme. Pour avoir hébergé son gendre républicain, Chava est condamnée à mendier sur les routes avec Petit-Fils. D'un village et d'une aventure à l'autre, Chava la sauvage et Petit-Fils le rebelle vont croiser la foule errante et misérable de ceux que chaque guerre, sur chaque continent, jette sur les routes.
Chava est une réflexion sur la liberté individuelle face à la force
triomphante. Un théâtre d'une inaltérable actualité, qui explore la
réalité méconnue de l'après-guerre civile espagnole.
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et interview
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L'Amateur de thé
roman, 2009 |
En quête d'une femme pour briser sa solitude, un professeur s'adresse à une agence matrimoniale. Les rencontres vont se succéder avec une multitude de femmes qui, toutes, portent en elles les stigmates de leur époque. "Debout au milieu de la salle du Rialto, Diane de Morny chantait pour moi seul l'air de La Walkyrie. Mais peut-être chantait-elle pour Harold, occupé derrière son comptoir, et pour son chat, qu'elle avait déposé sur une chaise, en arrivant. Diane de Morny était soprano dramatique et elle tint tout de suite à me le faire savoir." |
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