les thèmes proposés

• L'écriture de nouvelles

Atelier généraliste : structure de la nouvelle, techniques d'écriture, apprendre à garder le cap, camper un personnage, mettre en place l'attaque, trouver une chute...

• L'écriture d'une nouvelle sur un thème imposé

Comment trouver des idées et les organiser autour d'un thème ? Comment rester original ? Comment s'exprimer de façon personnelle sur un thème donné ? Comment mener son histoire ?

• Décoincer sa plume quand on "sèche"

Savoir identifier ce qui nous bloque (problème de structure ? objectif mal défini ? histoire ennuyeuse ? peur d'écrire quelque chose de trop personnel ?...), puis surmonter ou contourner les obstacles. Profiter de la panne pour se poser les bonnes questions, afin de sortir de la situation par le haut. Bref, le syndrome de la page blanche ? Connais plus...

• Utiliser les ficelles de l'écriture journalistique en littérature

Accrocher le lecteur, convaincre, choisir le bon vocabulaire, identifier les points de décrochage, réécrire au cordeau... La première chose que l'on apprend aux élèves des écoles de journalisme est qu'un article n'est pas de la littérature. Mais la littérature peut piocher avec profit dans certaines techniques de l'écriture journalistique pour gagner en efficacité et en densité. A preuve, de nombreux écrivains sont, au départ, des journalistes (dont l'auteur de ces lignes).

• Techniques pour débrider son imagination

Les idées n'arrivent pas en claquant des doigts, mais on peut les aider à venir. Alors, comment trouver de nouveaux angles d'approche et valoriser ses idées ? Comment penser à ce à quoi on ne pense pas naturellement ?

• Techniques pour une réécriture efficace

Cerner ses objectifs, utiliser un vocabulaire précis, travailler la structure des phrases, identifier ce qui manque... et apprendre à couper (même quand ça fait un peu mal).

• Court, mais bon : savoir couper au plus juste

Apprendre à identifier ce qui ralentit le récit, ce qui est hors sujet ; formuler au plus juste pour formuler au plus court ; savoir utiliser un vocabulaire précis ; éviter les redondances dans le vocabulaire et dans la narration.

• Ecrire, c'est comme (bien) raconter des bobards

Une nouvelle ressemble beaucoup, dans sa structure et dans sa mise en place, à une histoire drôle (ou à une anecdote) que l'on raconte à un ami, voire à un bon gros bobard que l'on doit absolument faire avaler à son auditoire. Pour capter l'attention, il faut savoir embarquer celui-ci en peu de temps, être convaincant, frapper juste et fort... Un atelier pour aborder la nouvelle sous un angle un peu moins intimidant que l'écriture littéraire.

• Travailler sa chute

Le tout n'est pas de raconter une histoire : il faut savoir la terminer d'une façon marquante et significative. Découvrez les petits secrets des "nouvelles à chute" comme les techniques pour réussir une fin ouverte.

• Ecrire juste, afin d'écrire ce qui vient vraiment de soi

Qu'est-ce que je veux vraiment exprimer ? Comment sortir des clichés ? Comment oser écrire ce que l'on a envie d'écrire ? Comment se livrer et écrire une véritable histoire sans dévoiler son intimité ? A-t-on le droit de tout écrire ? L'honnêteté suffit-elle à produire un récit de qualité ? Un atelier pour aller au fond de soi sans sombrer dans l'exhibitionnisme ou le voyeurisme. Un mot d'ordre : la sincérité.

• Anti-matière textuelle

Un atelier d'écriture pour s'affranchir (dans la bonne humeur, mais avec sérieux) des habitudes, goûts et dégoûts qui emprisonnent l'imaginaire aussi bien que la construction du récit, les descriptions ou l'utilisation du vocabulaire. Car penser (et écrire) à l'inverse de ce que l'on croit devoir faire est parfois le meilleur moyen de faire naître des idées qui viendront enrichir... ce que l'on veut faire !

• Exutoire !

Imaginez un monde où tous les livres seraient anonymes. Qu’écririez-vous si vous pouviez libérer sans crainte vos véritables envies, frousses et instincts ? L’atelier Exutoire vous propose de chevaucher les araignées plafonnières et de voir la feuille à l’envers… sans faire n’importe quoi. Car « se lâcher » peut aider à lancer un premier jet, à retravailler un texte, à débloquer son imaginaire. Un atelier avec des belles lettres et des gros mots, des brancards à ruades, des coups de tonnerre-foudre-serpe, des vocables qui n’existent pas, de la poétic-tac-toc... Et sans doute quelques fous rires !

>> Bien sûr, chaque atelier d'écriture est personnalisable en fonction du public, de la durée prévue et de l'approche souhaitée par l'organisateur.

les principes

> Chacun peut créer et écrire, chacun A LE DROIT d'écrire. Plus encore : chacun a quelque chose à exprimer (même quand on se croit "vide", ce qui est en général le premier obstacle à franchir). Tordons le cou à l'idée qu'il faudrait avoir suivi de hautes études ou être un grand intellectuel pour prendre la plume (ou le clavier), pour créer.

> L'écriture est un plaisir qui requiert un investissement personnel. Dans le cadre d'un atelier d'écriture, je suis moins un auteur qu'une sorte de guide de montagne qui vous montrera comment tracer son propre sentier, comment en définir le parcours et les paysages... et comment éviter de se casser la figure là où ça glisse (voire, comment réaliser des pirouettes amusantes).

> L'expérimentation et le droit à l'erreur sont des valeurs fondamentales pour apprendre, pour progresser et pour se faire confiance. Empathie, écoute, compréhension des besoins, encouragement, partage : voilà ce sur quoi je fonde ma démarche. Sans oublier la joie d'inventer !

> Bien écrire et raconter suppose de savoir où l’on va, donc d’apprendre à cerner sa pensée. L’un des objectifs de tout atelier est de fournir aux participants, quels que soient leur âge et leur niveau de familiarité avec l’écriture, des outils qu’ils pourront utiliser plus tard dans le cadre personnel, scolaire ou professionnel, bref, à chaque fois qu’ils auront recours à l’écrit

>> Le rôle d'un atelier d'écriture n’est pas de corriger les fautes (ce qui peut intervenir dans un second temps). Grammaire et orthographe ne doivent jamais constituer des facteurs d’appréhension pour les participants, surtout chez les scolaires.

MAIS il faut essayer de montrer qu’un texte clair avec le moins de fautes possible sera lu avec bien plus de plaisir et sera plus efficace. Et c'est un ex-nul en orthographe qui vous l'affirme !

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pour quels publics ?

Je propose l'animation d'ateliers d'écriture...

... en milieu scolaire (collège, lycée général ou professionnel, CFA) ;

... en médiathèque ;

... dans le cadre d'événements culturels ;

... pour des associations ;

... à domicile, dans le cadre d'un projet littéraire personnel ;

... pour des groupes de particuliers ;

... à destination des enfants comme des adultes ; 

... orientés vers l'écriture littéraire ou vers l'écriture journalistique.

Je peux me déplacer...

... sur toute la région parisienne ;

... dans les départements proches, pour des interventions de deux heures au minimum ;

... n'importe où en France, à partir d'une demi-journée.